LInitiation De Béatrice 03 Première Fellation Et Initiation À La Sodomie
LInitiation de Béatrice 03
PREMIÈRE FELLATION ET INITIATION À LA SODOMIE
Alors que je vais sur mes vingt deux ans, je drague Béatrice une gamine dix huit ans,
me promettant bien de la déniaiser en lemmenant batifoler à minuit sur les pelouses
du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa
virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse.
Lorsque trois-quarts dheure plus tard nous reprenons le chemin de la ville, elle est
collée à moi sur le scooter et ses doigts se sont immiscés dans ma braguette. Elle me
masturbe sans vergogne et jai beaucoup de mal à garder léquilibre. Arrivé devant son
domicile, je laccompagne jusquau couloir de son immeuble car elle habite au deuxième
étage. Le couloir est sombre et elle mattire à elle. Puis retroussant sa jupe, elle
vient se frotter à moi. Je ne peux mempêcher de la peloter, mapercevant quelle na
pas remis sa culotte. Elle dégrafe ma braguette et sort mon pénis de son étui. Avec la
masturbation du trajet, il est fin prêt pour un nouveau coït et cest sans préparation
que je lenfile dans sa moule qui nattend que cela. Adossée debout contre le mur du
couloir, Béatrice se laisse prendre sans aucune retenue. Elle ne se rend pas compte
quà cinq heures du matin, des locataires peuvent entrer ou sortir de limmeuble.
Heureusement je ne tiens pas très longtemps et je lâche mon sperme dans le ventre de
la jeune fille au bout de quelques minutes. Elle monte lescalier en murmurant une
chanson, apparemment satisfaite de sa première nuit de luxure.
Je fais exprès de ne pas la voir de la semaine, prétextant des obligations
professionnelles. Par contre je lui propose de lemmener en week-end le samedi
suivant. Pour rassurer sa famille, je lui suggère de leur annoncer que nous allons
camper dans la forêt de Fontainebleau avec une vingtaine de jeunes gens, garçons et
filles.
sacoches et dun porte-bagages. Sa famille ne fait aucune difficulté et cest avec
décontraction que nous nous retrouvons sur la route pour rejoindre une auberge des
bords de Seine, un peu avant Corbeil. Nous arrivons sur le coup de dix-neuf heures
trente et, suite à un solide repas, nous prenons possession de la chambre que javais
réservée au début de la semaine. Cest une grande chambre campagnarde au joli décor
champêtre. Un grand lit haut face à une monumentale armoire rustique équipée de trois
grandes glaces. Un cabinet de toilette très complet, comprenant un bidet, une
baignoire et un lavabo, ainsi quun W.C., complète léquipement de la chambre. Il est
presque vingt et une heures et en un tour de main nous sommes nus tous les deux et
dans les bras lun de lautre. Nous nallons pas ressortir de cette chambre avant onze
heures quarante-cinq le surlendemain matin. Cest-à-dire, quà part deux ou trois
heures de sommeil, nous avons fait lamour durant presque quarante heures sans
beaucoup dinterruption.
Béatrice est déchaînée et veut tout apprendre. Je lui propose de me faire une
fellation ce quelle accepte dans linstant. Étonnant non ? Il y a un grand nombre de
femmes qui sy refusent ou qui le font du bout des lèvres. Ma belle enfourne ma verge
avec la plus grande décontraction et il ne faut pas lui donner beaucoup dindications
pour quelle me suce avec une grande dextérité. Je me laisse faire avec délices,
appréciant les lèvres et la langue qui soccupent si bien de ma tige rigide. Jai
prévenu Béatrice que lorsquelle sentira ma sève envahir ma colonne de chair et
sapprêter à fuser, elle nest pas obligée de lavaler et quelle peut la retirer de
sa bouche à ce moment. En fait, lorsque mon conduit urétral est parcouru par le
liquide séminal et que je sens que mon foutre va jaillir, Béatrice, tient avec vigueur
ma pine entre ses doigts et se lenfonce au fond de sa gorge.
lorsque je décharge dans la jolie bouche qui avale sans rechigner mon épaisse liqueur,
ma jouissance à ce moment étant à son comble. Ma diablesse est ravie de mavoir fait
jouir de la sorte, elle se love contre ma poitrine et se frotte contre mon corps,
mappelant de tous ses sens à faire lamour. Heureusement que je peux moccuper
delle, avec mes mains et ma bouche en attendant que ma verge soit de nouveau en état
de fonctionner, car elle ma proprement vidé les couilles la garce.
Jenfouis ma tête entre ses cuisses et jinspecte la forêt de poils noirs et frisés
qui recouvre le bas-ventre de mon impudique brune et bien au-delà, les poils débordant
sur les aines et sur les fesses, laissant un gros sillon de poils frisés et brillants
dans la raie culière et autour de la pastille violacée de lanus. Je nai jamais vu
une pilosité aussi abondante et je suis attiré par lodeur qui sen dégage. Les
odorantes effluves de la vulve de ma tendre compagne sont particulièrement épicées.
Comme je le lui ai demandé, elle ne sest pas essuyée, lorsque, à notre arrivée, elle
sest rendu aux toilettes ; sa fente sent un peu sa miction urinaire avec en sus une
odeur de fauve et de femelle en rut. Mon nez hume lodeur forte qui sen dégage alors
que ma langue goûte la liqueur qui sourd abondamment de sa grotte. Je lape la mouille
savoureuse, introduisant ma langue au plus profond du vagin, écartant les grosses
lèvres de sa vulve, raclant les parois qui transpirent le suc onctueux et délicieux
que je savoure. Les muqueuses congestionnées de son vagin sont dun beau rouge sombre
alors que le tourillon roide du clitoris pointe effrontément hors de son capuchon. Je
le prends délicatement entre mes lèvres, faisant faire un bon de carpe à ma belle
dévergondée.
Je la maintiens entourant de mes bras le haut de ses cuisses, tout en glissant un
doigt dans la fente gluante de mouille pour bien len enduire ; je lintroduis
aussitôt après dans lillet plissé de son trou du cul tout en suçant le bourgeon du
clitoris, arrachant des gémissements ininterrompus à la jeune fille qui jouit par ma
bouche et souffre à la fois de lintroduction de mon doigt qui fore son fondement sans
ménagement.
humecté préalablement de sa mouille dans le délicieux petit anneau de vénus, décoré
dune jolie couronne de poils frisés noir de jais que jécartèle des deux doigts et où
je glisse ma langue, crachant ma salive dans lantre obscur que jespère déflorer
avant longtemps.
Béatrice se laisse étonnamment manipuler sans aucune gêne. Jai limpression que je
peux disposer de son corps et de ses endroits les plus intimes sans quaucune pudeur
ne leffleure. Elle est dune disponibilité incroyable. Elle me laisse goûter son
entrecuisse, ma bouche et mes doigts allant dans sa connasse béante. Jécarte les
bourrelets charnus de ses grosses lèvres pour plonger dans les plis et replis des
muqueuses vaginales dégoulinantes de son jus gluant. Je vais à sa rosette froncée, mes
doigts écartelant ses sphincters anaux pour forer encore dans le goulet étroit,
déflorant ainsi le conduit rectal inviolé et arrachant des gémissements à mon amante
complaisante qui se dévergonde aussi complaisamment.
Cest à ce moment dailleurs que son audace me surprend quel que peut, car alors que
je suis au-dessus delle, elle se glisse sous moi et prenant mon sexe entre ses
lèvres, elle moffre delle-même son premier 69 sans quelle sache ce que cela
représente. Elle gobe ma bite jusquau fond de sa gorge, puis de ses doigts et, de ses
lèvres, elle le masse, laspire, le lèche me faisant grogner de contentement à la
superbe fellation quelle moffre. Bientôt, sentant que mon pénis est de nouveau bien
raide et ainsi prêt à foutre la femelle libidineuse, je me redresse et retournant ma
partenaire sur le ventre, je la soulève pour quelle se mette à genoux sur le lit,
puis écartant les globes charnus de ses fesses rondes, jintroduis mon vit dans la
cavité baveuse de mouille jusquau col de lutérus.
les muqueuses enflammées et humides faisant couiner ma maîtresse dune satisfaction
voluptueuse. Cest alors que je lui glisse à loreille.
- Ma Chérie ! Tu veux bien que je te fourre mon sexe dans ton derrière ? Je sens
que tu es prête et jen aie très envie tu sais.
-
Béatrice sest immobilisée, alors que ma pine la remplit toute. Elle me répond dune
petite voix tremblotante.
- Tu vas me faire mal mon Amour ! Mais si tu en as vraiment envie, je veux bien.
Fais doucement Mon Chéri ! Jaie peur !
Je lembrasse dans le cou, puis me retirant de son vagin, jappuie mon sexe sur la
rondelle encore fermée. Trempant un doigt dans sa chatte béante, je transporte le plus
de mouille que je peux et lintroduis dans lillet qui se contracte autour de mon
doigt. Je susurre à loreille de ma soumise.
- Décontracte toi ma Chérie ! Quand je rentrerai mon sexe dans ton derrière,
pousse comme si tu allais à la selle, cela te fera moins mal. Je te promets, je ferai
le plus doucement possible et je marrêterai à chaque fois que tu me le demanderas.
Après avoir badigeonné lintérieur de lanus rebelle, jengage mon pieu dans le trop
petit orifice qui peine à sécarter. Ma partenaire souffle fort sous la pression du
membre qui cherche à lenculer. Le gland perfore dun coup le sphincter anal faisant
pousser un glapissement de douleur à ma femelle résignée. Mon gland me fait mal
tellement il est resserré par le muscle non encore distendu. Aussi, voulant faire
cesser cette douleur, je menfonce brutalement dans la gaine trop étroite. Cette fois
je me sens plus engagé, mais ma partenaire hurle en me suppliant de me retirer. Je
sais que jai fait le plus difficile et il nest pas question que je me retire de ce
croupion que je suis en train de déflorer. Je masse les épaules et le cou de ma
suppliciée et lui murmure.
- Je taime mon Amour ! Tu es très courageuse. Bientôt tu vas voir tu nauras
plus mal. Je suis certain que tu vas même avoir du plaisir. Mais il faut que ton cul
shabitue à mon sexe. Cest difficile la première fois, mais au bout de plusieurs fois
cest toi qui me demanderas de tenculer tellement tu vas y prendre de plaisir.
Béatrice sanglote, mais elle ne me demande plus de me retirer. Aussi progressivement
je menfonce très doucement dans ladorable pétard, déflorant avec jubilation cette
oie blanche que je suis en train de dépraver et damener à la plus grande perversité.
Je regarde avec avidité les cuisses écartelées et le haut des fesses rebondies qui
laisse entrevoir le cratère que je suis en train douvrir sous mon membre qui
senfonce dans lillet cette fois complètement distendu. Ma verge senfonce encore un
peu plus dans les entrailles du rectum nouvellement défloré et je sens mon gland
shumidifier cette fois naturellement par les muqueuses anales qui réagissent au
frottement continu de ma chair. Ma chérie à la tête appuyée de côté sur ses avant-
bras, son buste à loblique et son derrière haut levé alors que je suis à genoux
derrière elle. Elle soupire en séchant ses larmes. Apparemment la douleur intense de
la défloration de sa pastille rectale sest calmée. Jen profite pour menfoncer et me
retirer délicatement de la gaine endolorie, retirant un plaisir incommensurable à ce
coït rectal doublé dune satisfaction intellectuelle à savoir que je perfore pour la
première le petit trou du cul de ma jouvencelle. Puis je mactive de plus en plus
rapidement et je perfore le plus loin possible le rectum jusquaux intestins de ma
proie consentante. Béatrice vocifère cette fois sous les coups de boutoirs que
jassène dans son fondement. Elle hurle, elle bave et sanglote d'un atroce plaisir
hystérique, son corps se couvre de sueur et se contorsionne frénétiquement comme une
anguille. Je pilonne son cul sans interruption alors quune écume jaunâtre ressort de
son croupion à chaque fois que je me retire presque jusquau gland hors du cratère
grand ouvert à présent de son illet dilaté. Une agonie de jouissance qui la convulse
alors quun hurlement coupé de rires aigus, sort de ses lèvres ainsi que des
sanglotements et des bramements stridents. Elle jouit de douleur et de palsir cette
fois sans discontinuer.
Je sens ma sève qui court dans le conduit séminal de mon membre, je me retiens le plus
longtemps possible, mais soudain, dans un rugissement, je sens mon foutre qui jaillit
au plus profond des entrailles de Béatrice et je mécroule sur son dos, nen pouvant
plus de décharger dans ce cul si longtemps convoité. Elle halète comme une damnée sous
les convulsions qui lont saisie lorsquelle a prit son pied. Le plaisir inouï quelle
a retiré de sa première sodomisation où la douleur ressentie se mélangeait à
lexcitation sexuelle quelle ressent lont épuisée. Elle mentoure le cou de ses bras
et membrasse furieusement tout en me lançant.
- Oh ! Mon chéri ! Je taime ! Je taime ! Je taime ! Je taime !............
à suivre
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